Nous sommes Kroco, et nous venons de loin. Très loin. Officiellement, nous sommes un groupe de disco punk basé au Québec. Officieusement, nous venons de Krooshnool, une région de Neptune où l’aliénation est loi, où la liberté est un mirage, où l’individu n’a pas son mot à dire.
Mais ça, c’était avant. Avant qu’on décide de s’affranchir, de briser nos chaînes, de plonger tête première dans l’inconnu pour poursuivre nos rêves coûte que coûte.
Tout a commencé sur une terre aussi étrange que mystique : l’Islande. C’est là que Matteo et Jules se sont trouvés, unis par une même vision : créer une musique qui bouscule, qui fait vibrer, qui fait danser. L’exil les a menés jusqu’au Québec, où Kroco est né, rassemblant autour de lui une bande d’évadés : Michel, Rafik et Loussam.
Dès nos premiers pas sur scène, on nous a dit que ce n’était pas possible. Que la musique, c’est trop dur. Que notre son, trop déjanté. Que notre rêve, trop grand. Des profs, des proches, des figures d’autorité ont tenté de nous ramener à la raison, à cette fameuse « vraie vie » que tout le monde semble accepter sans broncher. Mais nous, on n’a jamais voulu marcher droit. On a choisi la transe, l’excès, la fête, la rage.
Notre groove a commencé à faire trembler les murs en faisant la première partie de Hubert Lenoir. Puis, on a explosé avec "Gros Crachat", un single craché sur les ondes de Radio-Canada. La même année, on a foulé la scène du Festival international de la chanson de Granby, atteignant les demi-finales. C’est aussi cette année-là qu’on a enterré notre ancien nom (Flight of the Oryx) durant notre parcours à Ma Première Place des Arts pour renaître sous notre vraie identité : Kroco. Une bête indomptable.
Mais Kroco, ce n’est pas juste un groupe, c’est une invitation à tous ceux qui se sentent enfermés dans un monde trop étroit pour leurs rêves. À ceux qui ont peur de se lancer. À ceux qui pensent qu’ils ne sont pas assez bons. On veut leur prouver que si, c’est possible. Que la seule voie vers le bonheur, c’est celle qu’on se trace soi-même.
Sur scène, c’est une tempête. Un tourbillon de sueur, de riffs acérés et de basses qui cognent droit au cœur. On danse, on hurle, on vit. Parce qu’au fond, c’est tout ce qu’on a toujours voulu faire. Et rien, absolument rien, ne pourra nous en empêcher.
Kroco, c’est l’insoumission en fête. C’est le chaos en cadence. C’est la preuve qu’un rêve, ça ne se négocie pas.
Tu ne connais pas encore Kroco ? C’est le moment de nous découvrir !
